Dimanche 16 juin, jour de fête des pères, j’étais à la résidence Biscarrat Bombanel, au coeur du village de Jonquières dans le Vaucluse.

La date était retenue depuis longtemps avec Marie, l’animatrice de la maison.

Quand je vais dans un ehpad un dimanche, je sais que le personnel sera en sous-effectif et que quelques  résidents auront des visites. Ce fut le cas en ce jour de fête des papas. Moins de personnel veut aussi dire moins d’ambiance mais on s’en est bien sortis. Les quatre soignantes présentes ont fait leur maximum pour motiver les résidents pendant les chansons.

Elles ont aussi eu la gentillesse de se prêter au jeu chorégraphique des Clodettes, le temps d’une chanson de Claude François. Un grand merci!

J’étais content de retrouver mes copines Marie, Nicole, et Yvette, toutes souriantes et prêtes à faire la fête avec moi.

Yvette dont j’avais fait la connaissance en mars et m’avait laissé un souvenir extrêmement joyeux.

Belle ambiance au coeur du Vaucluse

Pas mal d’hommes présents aussi, et notamment Christian, résident étonnant qui chante presque tout par coeur avec des larmes d’émotion dans les yeux.

Je ne connais pas les prénoms de tout le monde car je fréquente cet Ehpad deux à trois fois par an, alors à chaque passage il nous faut refaire connaissance.

Quelques familles sympas étaient présentes et n’ont pas hésité à participer, merci.

Côté répertoire nous avons chanté des tubes des années 60, « aline », « les marionnettes » par exemple, des années 70 avec les titres de Joe Dassin, Michel Delpech, Claude François entre autres, des années 80 avec « elle a les yeux revolver » que tout le monde connaît par coeur.

Quelques bonds en arrière avec les chansons d’Edith Piaf, plus loin encore avec «  A la claire Fontaine ». Du Johnny, du Sardou, des chansons Italiennes, Portugaises aussi…

J’ai arrêté ma prestation à l’heure du goûter ( gâteaux et glaces), ai passé une chemise sèche, ai salué tout le monde et suis reparti content de cette journée.

La prochaine date n’est pas fixée mais j’imagine qu’elle va bientôt l’être.

Merci à Marie pour la confiance renouvelée et « on t’espère avec nous la prochaine fois ».